Qui nous sommes
L’ACAT-Belgique est une ONG reconnue pour son expertise en droits humains. Elle a pour objet de bannir toutes peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants et de mener et soutenir toute action non violente en faveur des victimes de ces traitements.
L’ACAT-Belgique s’engage pour un monde sans torture ni peine de mort. L’accent est mis sur la dignité de tous les êtres humains sans discrimination, indépendamment de toute idéologie, religion, ethnie, et indépendamment des éventuels crimes dont ils sont accusés.
Nos valeurs
Nos missions
L'ACAT se donne pour but l'éradication de la torture ainsi que l'abolition de la peine de mort partout dans le monde. Nous comprenons le terme générique torture comme toute peine ou traitement cruel, inhumain et dégradant et nous postulons que cette catégorie comprend la peine de mort sous toutes ses formes.
A cette fin, notre organisme se donne plusieurs objets :
- Informer et sensibiliser la société au sujet de toute situation de torture
- Inciter, dans un esprit œcuménique, les chrétiens et leurs Églises, communautés ou associations d’inspiration chrétienne à mettre en œuvre ou à contribuer au but de l’ACAT-Belgique par les moyens qui leurs sont propres
- Mener ou soutenir des projets de plaidoyer, auprès des décideurs politiques, économiques, sociaux, religieux ou autres en faveur des droits humains dans la fidélité au but de l’ACAT-Belgique, sans distinction de pays ou région, de régime politique, d’appartenance culturelle, idéologique, philosophique ou religieuse, d’orientation sexuelle et de quelque autre identité
- Exercer une action d’éducation permanente et de recherche, dans un esprit de vigilance, pour prévenir et dénoncer tout acte pouvant conduire à la torture sous toutes les formes conformément au but de l’ACAT-Belgique
- Mener ou soutenir toute action non violente, notamment les manifestations ou les initiatives judiciaires, ou tout projet en faveur de victimes de la torture
- Sensibiliser ses membres et l’opinion publique aux problèmes spirituels, sociaux et culturels rencontrés par les victimes de guerre, ainsi que par les personnes se trouvant en situation d’indigence ou toute autre circonstance de vie qui appelle la solidarité
- Contribuer au travail de mémoire des crimes de masse ou de toute catastrophe dont l’oubli augmente la souffrance de victimes directes ou indirectes.